Il est important que les patients souffrant d’hypoparathyroïdie suivent leur alimentation et connaissent différents facteurs nutritionnels et leur effets plus ou moins combinés.
La prise de calcium via l’alimentation va compléter la prise de calcium sous forme de comprimés et nous avons vu qu’il faut aussi surveiller des éléments comme le phosphore ou le magnésium.
Il faut également tenir compte des facteurs qui influent sur la bonne assimilation du calcium. Par exemple, le sodium et les protéines animales augmentent les pertes calciques urinaires alors que la vitamine D transformée favorise l’absorption du calcium. L’acidité ou l’alcool ont également une importance.
Apports en calcium recommandés chez un sujet normal
Chez un sujet normal, les recommandations nutritionnelles se basent sur les relations entre l’apport calcique et son absorption et l’excrétion du calcium. L’équilibre serait atteint avec un apport quotidien de 520 mg en tenant compte des pertes fécales incompressibles, apport qui monte à 840 mg en tenant compte des pertes urinaires et celles liées à la desquamation, et même à 1100 mg lorsque les pertes liées à la ménopause sont incluses.
Une étude de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) montre que les ANC varient sensiblement entre les pays développés en fonction de l’alimentation. Les apports nutritionnels conseillés (ANC) sont de 900 mg par jour chez l’adulte qui consomme une alimentation occidentale.
La prise en compte des apports alimentaires en protéines animales a un effet majeur sur les besoins nutritionnels en calcium, les régimes riches en protéines animales requièrent des apports en calcium plus élevés. Au contraire, si les apports en sel (sodium) dans le régime alimentaire étaient réduits, les besoins en calcium pourraient diminuer à un niveau aussi bas que 450 mg/j. Enfin, une meilleure attention portée au taux de vitamine D (par une exposition suffisante au soleil ou par des apports suffisants) pourrait encore diminuer les besoins nutritionnels en calcium.
Ainsi, selon l’OMS, un besoin de calcium beaucoup plus bas (500 mg/jour) est observé chez les personnes ayant une alimentation beaucoup plus végétarienne, qui s’exposent suffisamment au soleil (vitamine D) et qui ont une activité physique non sédentaire. En effet, l’ingestion d’acides aminés soufrés (comme la méthionine) en grandes quantités augmenterait la déperdition de calcium dans les urines. Ces acides aminés soufrés se trouvent en grande quantité dans les viandes, les poissons, les œufs, les charcuteries.
Apport supplémentaire en calcium chez un patient atteint d’hypoparathyroïdie
Chez les patients atteints d’hypoparathyroïdie, on cherchera à optimiser l’absorption de calcium tout en réduisant son excrétion pour éviter les effets secondaires (calculs rénaux par exemple).
L’une des difficultés majeure que rencontrent les patients est liée à la régulation du taux de calcium, fonction assurée par les glandes parathyroïdiennes avec la PTH. Cette fonction n’étant plus opérationnelle chez les malades, l’apport régulier de calcium pour éviter toute chute brutale du taux de calcium conduit souvent à des phases d’hypercalcémie ou d’hypercalciurie.
Faute de disposer d’un test en continu du niveau de calcium dans le sang (et encore, il faudrait pouvoir mesurer le taux de calcium actif disponible), les patients en sont souvent réduits à prendre du calcium en excédent par apport alimentaire et par prise de comprimés de calcium. Ces compléments peuvent atteindre plusieurs milliers de mg par jour.
Les patients devront tenir compte des principes décrits ci-dessus (régime pauvre en sel, pas trop de protéines animales, éviter les composants pouvant générer des complexes calciques insolubles, etc.) pour essayer d’optimiser l’absorption de calcium tout en réduisant au minimum son excrétion.
Présence de calcium dans les aliments
Les patients atteint d’hypoparathyroïdie sont naturellement amenés à s’intéresser aux aliments contenant le plus de calcium mais devront aussi faire attention aux effets de bord de certains régimes.
Le calcium est présent dans de nombreux aliments de consommation courante. Il faut tenir compte de leur teneur en calcium mais aussi de leur possibilité d’absorption souvent liée à la combinaison d’autres éléments. Par exemple, les produits laitiers constituent actuellement la principale source de calcium alimentaire des pays occidentaux (plus des deux tiers des aliments consommés), le calcium y est présent sous une forme permettant une absorption intestinale correcte (de l’ordre de 30 %), malheureusement les protéines animales présentes dans ces produits augmentent l’excrétion urinaire de calcium.
Les produits très riches en calcium et en phosphore entraînent eux une hypercalcémie et hyperphosphatémie temporaires avec une inhibition de la synthèse de vitamine D. L’inhibition de la synthèse de la vitamine D n’est pas très gênante pour les patients atteints d’hypoparathyroïdie puisqu’ils doivent de toute les façons prendre des compléments de vitamine. Quand au phosphore, il va se combiner avec le calcium en réduisant les capacités d’absorption du calcium mais il va diminuer l’excrétion urinaire de calcium.
D’autres aliments contiennent du calcium : les amandes, les pistaches, les dattes, le persil, les figues, le cresson, le cacao, le pissenlit, les oranges,les haricots secs, le jaune d’oeuf, les graines de pavot, le brocoli, les choux, les épinards (les légumes à feuilles vertes en général), certains poissons,etc.
Pour l’évaluation de la biodisponibilité réelle, il faut aussi tenir compte des facteurs alimentaires qui influencent la perte urinaire du calcium absorbé. Ainsi, outre le phosphore dont il a été question plus haut, il faut aussi prendre en compte les composants « acidogènes » du régime, comme les sulfates (en particulier dans les eaux minérales sulfatées calciques) qui augmentent la calciurie (élimination de calcium par voie urinaire).
Le tableau ci-dessous résume la teneur en calcium des principaux aliments intéressants. Nous répétons qu’une bonne alimentation pour les malades atteints d’hypoparathyroïdie doit tenir compte des interactions entre les différents composants :
Aliment | Teneur en calcium mg/100 g |
Pavot | 1 460 |
Wakamé | 1 300 |
Poudre de lait écrémé | 1 300 |
Parmesan (fromage 36,6% matière grasse) | 1 107 |
Appenzeller (fromage 20% matière grasse) | 1 090 |
Emmental (fromage 45% matière grasse) | 1 030 |
Poudre de lait entier | 1 060 |
Cantal | 1 0222 |
Tilsit (fromage 30% matière grasse) | 990 |
Comté | 9522 |
Lait de beurre en poudre | 894 |
Poudre de sérum (poudre de petit lait) | 890 |
Provolone | 881 |
Gruyère | 880 |
Gouda (fromage 45% matière grasse) | 820 |
Edam (fromage 30% matière grasse) | 800 |
Sésame | 783 |
Appenzeller (fromage 50% matière grasse) | 740 |
Ortie | 713 |
Cheddar (fromage 50% matière grasse) | 698 |
Mozzarella | 651 |
Roquefort | 662 |
Gorgonzola | 612 |
Limbourg (fromage 20% matière grasse) | 610 |
Bel paese | 604 |
Pois carré | 530 |
Fromage bleu | 526 |
Camembert 30% matière grasse | 600 |
Mauve sauvage | 505 |
Romadur (fromage 20% matière grasse) | 448 |
Feta (fromage 45% matière grasse) | 429 |
Plantain, feuille | 412 |
Brie | 400 |
Galinsoga | 372 |
Algue Kombu | 3653 |
Sardines à l’huile | 330 |
Munster (fromage 45% matière grasse) | 310 |
Thé noir | 302 |
Glechome | 289 |
Jaune d’œuf en poudre | 282 |
Ricotta | 274 |
Baie d’églantier | 257 |
Amande | 252 |
Herbe à cinq côtes | 248 |
Chocolat au lait | 247 |
Lait condensé, 7,5% matière grasse | 242 |
Noisette | 226 |
Amarante | 214 |
Cresson alénois | 214 |
Chou vert | 212 |
Soja | 200 |
Lin, graine | 198 |
Lait de brebis | 198 |
Haricot vert séché | 197 |
Arroche des jardins | 197 |
Lait de bufflonne | 195 |
Figue séchée | 193 |
Œuf entier de poule en poudre | 190 |
Cresson de fontaine | 180 |
Persil | 179 |
Pissenlit, feuilles | 168 |
Lamier, feuille | 166 |
Krill antarctique | 160 |
Roquette | 160 |
Barbarée | 156 |
Mouron des oiseaux | 150 |
Café torréfié | 146 |
Jaune d’œuf liquide | 140 |
Pistache | 136 |
Noix du Brésil | 132 |
Égopode | 132 |
Lait de chamelle | 132 |
Chénopode Bon-Henri | 130 |
Civette | 129 |
Pois d’Angole sauvage, feuilles | 129 |
Lait de chèvre | 127 |
Fromage de lait caillé | 125 |
Pois chiche | 124 |
Salsifis sauvage, feuille | 122 |
Granette, feuille | 122 |
Lait entier de vache | 120 |
Yaourt 3,5% matières grasses | 120 |
Kéfir de lait | 120 |
Épinard | 117 |
Cacao en poudre | 114 |
Haricot blanche sèche | 113 |
Lait de jument | 110 |
Lait d’âne | 110 |
Fenouil | 109 |
Lait de beurre | 109 |
Ambérique | 108 |
Noix de cola | 108 |
Bette poirée | 103 |
Crème à café | 101 |
Crème caillée | 100 |
Ce tableau donne une quantité de calcium, pas la « disponibilité réelle » de cet élément pour l’organisme qui est variable en fonction de l’organisme (âge, état de santé) et de l’aliment.
L’acidité : un ennemi du patient atteint d’hypoparathyroïdie
Un point à suivre particulièrement pour les patients atteints d’hypoparathyroïdie : l’acidité. En effet, l’alimentation moderne conduit, à bien des égards, à une acidification de l’organisme qui est néfaste aux patients atteints d’hypoparathyroïdie encore plus que les sujets sains.
Une acidité (pH inférieur à 7) conduit en effet l’organisme à essayer de compenser en monopolisant des composants alcalins comme le calcium. C’est par exemple le cas d’une acidité due à une alimentation trop riche en protéines animales : l’organisme va utiliser une partie du calcium présent pour le combiner avec l’albumine et tenter d’augmenter le pH (l’albumine est la protéine la plus abondante dans le sang, elle est fabriquée par les cellules du foie et peut aussi provenir de l’alimentation, on la trouve par exemple dans le blanc d’œuf ou encore dans le lait).
Régimes riches en produits végétaux
Des études ont montré que les pertes urinaires en calcium sont plus faibles dans les régimes alimentaires alcalins, riches en légumes et fruits ou en bicarbonates.
Bien qu’il soit considéré dans certaines études que les produits à base de soja ont un taux de phytates élevé pouvant réduire l’absorption du calcium, d’autres études n’ont pas constaté de différence clinique selon que l’alimentation comprenne du lait de vache ou de soja. Les phytates, présents dans l’enveloppe de nombreuses céréales ainsi que dans certaines noix, certaines graines ou certains légumes, peuvent cependant former des sels de calcium insolubles dans l’appareil gastro-intestinal.
Les oxalates (que l’on peut trouver par exemple dans les épinards, la rhubarbe, les noix, l’oseille) en excès peuvent précipiter le calcium dans l’intestin ; ainsi, s’il a été démontré que la biodisponibilité du calcium des légumes verts pauvres en oxalates (par exemple choux ou brocoli) est supérieure à celle du lait de vache, à l’inverse le calcium des épinards ou du cresson est moins bien absorbé.
Si ces facteurs ont généralement une faible importance dans les régimes alimentaires, leur importance dans un régime végétarien strict pourrait équilibrer les effets bénéfiques d’une baisse de l’excrétion urinaire du calcium due à un faible apport en protéines animales.
Les tanins (tels que ceux du thé) peuvent également former des complexes réduisant l’absorption du calcium.
Les protéines
Il est connu depuis les années 1960 que l’apport alimentaire de protéines –- et particulièrement de protéines animales – augmente l’excrétion urinaire de calcium. Cela est cohérent avec la constatation faite par ailleurs que la prévalence des fractures de la hanche est liée aux apports en protéines animales. Il a été trouvé dans une population japonaise que l’excrétion de calcium est significativement corrélée positivement avec l’apport alimentaire de protéines animales, mais pas avec celui de protéines végétales. Inversement, diminuer l’apport en protéines animales diminue les pertes urinaires en calcium.
Le mécanisme par lequel les protéines animales influent sur l’excrétion du calcium n’est pas complètement compris. Une augmentation du taux de filtration glomérulaire en réponse aux apports protéiques a été suggéré, mais ne semble pas pouvoir en l’état actuel des connaissances expliquer à lui seul cette constatation. Le mécanisme considéré comme le plus important par la majorité des études est l’effet de la charge acide contenue dans les aliments d’origine animale (due notamment aux acides aminés sulfurés contenus en quantité plus importante dans les protéines animales, et à la concentration plus importante en ions phosphates), du fait qu’une charge acide est, sur le long terme, compensée entre autres par la fixation des ions H+ par les phosphates acides libérés par le métabolisme phosphocalcique osseux, ceci entraînant la libération conjointe de carbonate de calcium osseux.
La complexation dans les tubules rénaux du calcium par les ions sulfates et phosphates relargués par le métabolisme des protéines jouerait également un rôle. Le taux urinaire de calcium est significativement relié à celui du phosphate urinaire et la plus grande partie du phosphore contenu dans les urines des personnes adoptant un mode d’alimentation occidental provient des aliments d’origine animale ingérés. Cela est également observé pour le sulfate urinaire, même si l’effet est probablement moins important que celui des ions phosphates.
Lait animal
Le lactose du lait, pris séparément, favorise l’absorption du calcium ; cependant son effet est contrebalancé par celui des protéines animales également contenues dans le lait. Finalement, le lactose du lait contribue peu à l’amélioration de l’absorption en calcium et aucune étude ne montre que le calcium du lait est plus efficacement absorbé que celui de n’importe quel sel de calcium. La proportion absorbée de calcium du lait dépasse rarement 40%.
Eaux minérales
Il n’a pas été démontré que le calcium des eaux minérales, sous forme de bicarbonate ou de sulfate, est mieux absorbé que d’autres sources de calcium. Ceci étant, leur boisson contribuent à l’apport de calcium quotidien (bien regarder la composition des eaux minérales, Hépar ou Courmayeur par exemple contiennent pas mal de calcium).
L’un des intérêts des eaux minérales est que leur consommation régulière tout au long de la journée va contribuer à un apports continu en calcium en général bénéfique aux patients atteints d’hypoparathyroïdie.
L’alcool
L’alcool est connu pour avoir des effets négatifs sur l’absorption de calcium (il est un des facteurs aggravants de l’ostéoporose). Les patients atteints d’hypoparathyroïdie devraient limiter au maximum leur consommation de boisons alcolisées.
Le sodium
Le taux urinaire de calcium (calciurie) est relié à celui du sodium (natriurie) et l’administration de sodium augmente l’excrétion urinaire de calcium, possiblement parce que le sodium entrerait en compétition avec le calcium pour la réabsorption au niveau des tubules rénaux. Les restrictions en sel diminuent la calciurie, donc les besoins nutritionnels en calcium, et inversement la consommation alimentaire de sel augmente ces besoins. Les études existantes montrent que chaque apport supplémentaire de deux grammes de sel alimentaire entraîne une excrétion urinaire de calcium de 30 à 40 mg en moyenne.
Le phosphore
Comme indiqué dans la rubrique spécifique au phosphore, il est souhaitable de maintenir le taux de phosphore à un niveau bas de la fourchette de référence du patient avant l’apparition de la maladie d’hypoparathyroïdie.
Vous trouverez ci-dessous un tableau des aliments contenant beaucoup de phosphore (à consommer donc avec modération).

Le magnésium
Comme indiqué dans la rubrique spécifique au magnésium, il est souhaitable de maintenir le taux de magnésium à un niveau au moins égal à 0,80 mmol/l.
La prise de comprimés de magnésium (MagB6 par exemple, cher) ou de chlorure de magnésium (peu onéreux) permet d’augmenter son niveau de magnésium. L’alimentation peut aussi être orientée vers cet objectifs. Vous trouverez ci-dessous un tableau des aliments contenant beaucoup de magnésium (à consommer donc sans modération).
Le potasssium
Comme indiqué dans la rubrique spécifique au potassium, il est souhaitable de maintenir le taux de potassium dans le sang entre 3,5 et 5,0 mmol/l.
En cas “poussée” du taux de potassium un régime à base d’aliments pauvres en potassium s’impose en parallèle d’autres traitements médicamenteux éventuels. Vous trouverez ci-dessous une liste des aliments à privilégier et à éviter.
Fruits | |
A privilégier | A éviter |
Ananas | Abricot |
Canneberges | Banane |
Cerises (max. 10) | Baies de sureau |
Citron (1) | Dattes |
Clémentine (1) | Figue |
Compote de pommes | Fruits de la passion |
Fraises | Kiwi |
Framboises | Nectarine |
Fruits en conserve, toutes les sortes | Kiwi |
Groseilles | Goyave |
Litchies (10) | Grenade |
Macédoine de fruits | Prunes |
Mandarine | Orange |
Mangue (1/2 max) | Papaye |
Melon d’eau | Prunes |
Mûres | |
Pamplemousse (1/2 max) | |
Pêche | |
Poire | |
Pomme | |
Prunes (1) | |
Raisins (20) | |
Légumes | |
A privilégier | A éviter |
Asperge (6) | Artichaut |
Aubergine | Avocat |
Bette crue | Bette cuite |
Betterave en conserve | Betterave fraîche/bouillie |
Brocoli | Céleri-rave |
Carottes (8 petites) | Champignons de Paris |
Céleri | Chou-rave |
Champignons blancs | Chou de Bruxelles |
Chou | Citrouille |
Chou-fleur | Epinards cuits |
Concombre | Feuilles de pissenlit |
Courge | Frites |
Cresson | Lentilles |
Haricots jaunes et verts / petits pois | Manioc |
Laitue | Oseille |
Mais | Patate douce |
Navet | Pois cassés |
Ognions | Pois chiches |
Poireau | Pomme de terre |
Poivron | Pousses de bambou fraîches |
Radis |
Aliments protéiques | |
A privilégier | A éviter |
Boeuf | Noix |
Poulet | Graines |
Porc | Moules |
Dinde | Calmar |
Poisson |
Produits Céréaliers | |
A privilégier | A éviter |
pain, bagels et pains mollets à farine blanche, pain de seigle pâle | pain à grains entiers, pain de blé entier, bagels, pain de seigle noir |
Céréales sans son, céréales de blé filamenté, céréales de riz, flocons de maïs, crème de blé ou crème de riz | Céréales de son ou à grains entiers, granola |
galette de riz (farine blanche), biscuits salés, coquilles à taco/tortilla, croustilles au maïs (10), craquelins à l’eau | toute biscotte de seigle noir |
Riz blanc, pâtes alimentaires blanches | Riz brun, pâtes alimentaires de blé entier |
Couscous (1/3 tasse), farine blanche | Danoises, beignes, carrés aux dattes, gâteaux aux fruits, pain d’épice, biscuits en gingembre, barre granola, biscuits au beurre d’arachide ou tout produit de boulangerie de blé entier/avec des grains entiers, des carottes ou du chocolat |
Orge, sarrasin, boulghour, noix/graines, préparation à crêpes/gaufres, farine de blé entier |
Autres | |
A privilégier | A éviter |
Lait frais, yogourt | Lait au chocolat |
Fines herbes et mélange d’épices/de fines herbes | Succédanés du sel |
Beurre, margarine, huile, mayonnaise | Fromage sans sel |
Sucre, succédané du sucre, miel, confiture, gelée, sirop de maïs ou sirop pour crêpe | Cassonade, mélasse, sucre d’érable ou sirop d’érable |
Café et thé ordinaires/décaféinés, limonade, Kool-Aid, punch aux fruits, boissons à base de cristaux, boissons gazeuses (autres que colas) | Cafés spéciaux (cappuccino, espresso, turc), colas, cacao |
Chocolat, de n’importe quel type |